Athlète complet de la création, cet artiste issu du cirque ne cesse de réinterroger, en tous sens, les lois physiques qui régissent le monde.
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Jusqu’au mois de janvier, « Chroniques », la Biennale consacrée à toutes les formes d’art liées aux technologies, a lieu à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles et Istres.
Au musée de la Franc-maçonnerie, les œuvres de deux artistes iraniens en exil pourfendent, avec talent, le régime théocratique qui étouffe leur pays.
« Un étrange ordinaire », c’est le titre d’une exposition insolite sur le thème de « ce que nous disent les objets magiques », à Cavaillon.
Au musée Guimet, une exposition inédite met en lumière des trésors de l’orfèvrerie chinoise qui remontent à l’époque où fut édifiée la Cité interdite et bâti l’essentiel de la Grande Muraille.
Alexandra Tobelaim met en scène la pièce de l’auteur sicilien Davide Enia qui évoque, en sourdine, la périlleuse traversée de la mer par des hommes et des femmes en quête d’une meilleure existence.
Neuf interprètes se relaient pour présenter chaque soir, en alternance, des farces et pièces brèves du grand auteur russe, mises en scène par Pierre Pradinas.
Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
La comédienne, passionnée par l’univers du cabaret que pratiqua un temps la grande dame infiniment libre de la littérature française, lui consacre un spectacle en toute gratitude.