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Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
Agenda culturel de mars 2024
Au Studio Hébertot, la comédienne Catherine Pietri s’empare des mots de Barbara, tirés de son livre Il était un piano noir, dans lequel elle a révélé toute sa force d’âme.
Après six années de travaux qui ont profondément modifié sa structure et l’agencement de ses précieuses collections, cette institution vieille de près de trois siècles invite à un parcours radicalement autre.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme consacre une importante rétrospective à cette figure mythique de l’imaginaire juif d’avant la Shoah, qui continue de hanter la scène artistique sous toutes ses formes.
De ses débuts figuratifs jusqu’à sa peinture exclusivement faite de couleurs et de lumière, cette rétrospective de l’œuvre de l’artiste états-unien permet de prendre l’exacte mesure de son importance.
Le collectionneur Antoine de Galbert a fait des dons réguliers à l’établissement, pour un total de 270 œuvres issues de 95 photographes, célèbres et moins connus, qu’on peut d’ores et déjà juger sur pièces.
Un peu plus d’un siècle après la rencontre de l’artiste avec Paul Guillaume, une exposition au musée de l’Orangerie s’attache à explorer la manière dont les liens entre les deux hommes peuvent éclairer la carrière de Modigliani et sa renommée posthume.
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.