
C’est quasiment ce qui a lieu au musée d’art et d’histoire du judaïsme, où l’exposition « Vérité et justice » explore les tenants et aboutissants de cet épisode inoubliable de honte nationale.
C’est quasiment ce qui a lieu au musée d’art et d’histoire du judaïsme, où l’exposition « Vérité et justice » explore les tenants et aboutissants de cet épisode inoubliable de honte nationale.
L’espace entier de l’illustre institution est consacré au 9e art, dans une série d’expositions qui le célèbrent sous toutes ses formes, passées et présentes.
La Maison européenne de la photographie présente la première rétrospective de l’œuvre de l’artiste britannique Dennis Morris, qui a notamment portraituré Bob Marley et les Sex Pistols dans les années 1970.
Le Musée d’art moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’œuvre de ce peintre, pionnier de l’abstraction puis converti, après-guerre, à l’art figuratif.
Le Centre Pompidou consacre une exposition monographique, riche de plus de 200 œuvres, à cette artiste à l’itinéraire singulier, tôt reconnue par Degas et qui a su, notamment, porter sur le nu un regard proprement féminin.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
Confrontée aux avant-gardes artistiques parisiennes, cette peintre brésilienne inventa dans les années 1920, sous des formes multiples, une expression résolument moderne, propre à son pays natal. Le musée du Luxembourg lui consacre une rétrospective.
Au musée de Montmartre, on refait le parcours d’un peintre encore méconnu, parti du postimpressionnisme, tenant du fauvisme puis du cubisme, qui finit en pionnier de l’art abstrait.
On connaissait le poète de l’enfance enchantée, le parolier, le brillant scénariste, l’étincelant dialoguiste… On découvre aujourd’hui, avec grand plaisir, l’ami des grands peintres de son temps et le « rêveur d’images » qu’il fut toute sa vie.
Au musée Picasso, une exposition temporaire ressuscite la demeure parisienne mythique de ce marchand et galeriste qui la fit décorer somptueusement par Fernand Léger, Picabia, Max Ernst, Chirico et tutti quanti.