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La meilleure définition de la musique de Beethoven est peut-être celle de Romain Rolland, dans le livre qu’il lui a consacré en 1903 : « Il se dégage de lui un bonheur de la lutte. »
C’est un opéra de poche qui n’eut pas un grand succès à sa création en 1914, mais « Le Rossignol » de Stravinsky méritait qu’on y revienne. C’est ce que fait la soprano Sabine Devieilhe avec la grâce colorée qu’on lui connaît.
Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.
Le Centre Pompidou consacre une exposition monographique, riche de plus de 200 œuvres, à cette artiste à l’itinéraire singulier, tôt reconnue par Degas et qui a su, notamment, porter sur le nu un regard proprement féminin.
Clea Petrolesi a écrit et met en scène Personne n’est ensemble sauf moi, un spectacle qui est une ode à la différence et brouille les pistes avec délicatesse.
C’est, dans le musée consacré au grand sculpteur, la question à laquelle l’exposition « Corps In-visibles » apporte plusieurs réponses passionnantes.
À travers trois cycles fictionnels, Franck et Vautrin, Pierre Lemaitre ou encore Gérard Mordillat inscrivent leurs personnages dans l’Histoire afin de mieux secouer le présent.
Deux nonagénaires sont visés par des assassinats. En enquêtant, les policiers découvrent qu’ils sont d’anciens volontaires de la division SS Wiking. Et le romancier Arttu Tuominen lève un coin du voile sur une période cruelle de l’histoire de la Finlande.
Loin du hiératisme de ses prédécesseurs, Jérémie Rhorer donne de la "Messe solennelle" une interprétation pleine de chaleur, entre joie et recueillement.
Excellent à domicile, mais poussif en compétition internationale, l’Anglais en remontra néanmoins plus d’une fois à certains des meilleurs joueurs du monde. Sa disparition dramatique, en 1932, reste nimbée de mystère.