Le chœur de chambre Mélisme(s) s’est associé la clarinette, la contrebasse et l’accordéon du Trio Bankal pour une interprétation à la fois profonde et légère de Brahms.
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Les quatre violoniste, violoncelliste et altiste ne se contentent pas d'interpréter Ravel et Debussy, ils promeuvent également un jeune compositeur talentueux, Benjamin Attahir.
Il aura fallu deux ans de travail commun entre l'ensemble La Chapelle rhénane et le Quatuor 1781 pour accoucher une interprétation de Haydn aussi puissante que chargée d'émotion.
Chopin avait conçu ses Préludes comme des improvisations ; le pianiste Jean-Nicolas Diatkine les appréhende comme un tout, alliant poésie, lyrisme et profondeur avec une pudeur et une vision incarnée.
Ce n’est que dans la deuxième moitié du XXe siècle que le « piano à bretelles » a eu droit de cité dans la musique classique.
Violoniste à la cour royale de Stockholm au début du XVIIIe siècle, Johan Helmich Roman traduisit en suédois certaines œuvres étrangères pour les rendre plus accessibles au grand public. Fabio Biondi réinterprète ses Assaggi pour violon seul.
Une fantaisie lyrique, à l’humour échevelé : On purge bébé est l’œuvre testamentaire du compositeur belge Philippe Boesmans. À découvrir en replay sur Arte.
Les compositeurs de musique minimaliste et répétitive lui doivent tant ! Le pianiste François Mardirossian présente une judicieuse sélection de ses émules les plus brillants.
Selon un érudit du XVIIIe siècle, la viole était l’instrument le plus à même d’imiter la voix humaine. Il est en tout cas idéal pour interpréter les maîtres de l’époque – Rameau, Couperin, Marais... – comme nous le démontre le duo Mélisande Corriveau et Susie Napper.
Multi-instrumentiste, œuvrant tant dans le jazz que dans la musique classique, Keith Jarrett aime beaucoup Bach, père et fils. Il interprète Carl Philipp Emanuel Bach dans 2 Cd où il déploie tout son art.
En 2013, Dutilleux tirait sa révérence. Compositeur parcimonieux, on lui doit quelques chefs-d’œuvre, comme le concerto pour violoncelle Tout un monde lointain, inspiré par Baudelaire.
« Libre mais seul » était la devise du compositeur. Elle donna son nom à l’une de ses dernières sonates pour violon et piano, interprétée aujourd’hui avec talent.