
Pendant neuf ans, elle fut une épouse aux ambitions artistiques contrariée. Une carrière musicale lui fut refusée. On lui doit pourtant seize lieder étonnants de maturité et de finesse.
Pendant neuf ans, elle fut une épouse aux ambitions artistiques contrariée. Une carrière musicale lui fut refusée. On lui doit pourtant seize lieder étonnants de maturité et de finesse.
Au début du XXe siècle, le prêtre Komitas collecta des milliers de chansons populaires arméniennes. Un patrimoine annihilé par le génocide de 1915, qu’Eva Zaïcik ressuscite en partie.
La claveciniste Constance Taillard reprend certaines pièces méconnues de Wolfgang Amadeus, dans un disque plein de charme.
Le violoniste Jean-Jacques Kantorow réhabilite le compositeur italien Alfredo d’Ambrosio, injustement tombé dans l’oubli.
Le grand roi résout le litige qui oppose deux femmes pour un bébé, puis rencontre avec la reine de Saba. Et le compositeur allemand en tire un somptueux oratorio, à redécouvrir.
Schumann, Verroust, Pixis… Deux hautboïstes tirent de l’oubli des partitions du premier XIXe siècle, prouvant que l’instrument n’était, à l’époque, nullement remisé au placard.
La soprano allemande Katharina Ruckgaber embrasse, avec une espièglerie détonnante, des mélodies d’un registre plutôt sombre. Enthousiasmant.
Pour interpréter Bach, Mario Brunello use à merveille de ce petit violoncelle, proche du violon alto, qui connut son heure de gloire dans la première moitié du XVIIIe siècle.
La chanteuse incarne une femme abandonnée par son amant au téléphone, sur une musique de Francis Poulenc inspirée par une pièce de Jean Cocteau.
Le violoniste a choisi de mettre en valeur des compositeurs et compositrices issu·es de minorités discriminées en raison de leur couleur de peau, de leur genre ou de leur orientation sexuelle.
Apparue au XVIe siècle en Italie, la harpe triple a une sonorité bien à elle. Marie-Domitille en exprime toutes les nuances.
Écrite en 1956, la 11e symphonie de Chostakovitch est un hommage aux dizaines d’ouvriers tombés sous les balles cosaques le dimanche 9 janvier 1905, lors d’une marche pacifique devant le palais de Nicolas II.