Cécile Coulon dépeint un inquiétant hameau, où un guérisseur se frotte à de dangereux secrets. Quant à Pierric Bailly, il plante sur les flancs du Jura une histoire d’amour aussi inattendue qu’irrésistible.
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Un personnage et un univers récurrents… Si l’alchimie fonctionne, cela peut donner une saga à succès. La preuve avec les derniers opus de Max Monnehay, Simone Buchholz, Mercedes Rosende et Valerio Varesi.
Pas bigot, Fauré, mais touché par la grâce, avec ce Requiem « composé pour le plaisir » pour exprimer « une délivrance heureuse ». Le Chœur de Namur, tout en pudeur et en raffinement, le sert admirablement.
Il y a longtemps qu’on n’avait à ce point été touché par une interprétation de l’ultime œuvre du génie de Salzbourg. On la doit à l’inventivité de Raphaël Pichon, qui a imbriqué des morceaux bien assortis entre les différentes parties du Requiem.
Au musée Picasso, une exposition temporaire ressuscite la demeure parisienne mythique de ce marchand et galeriste qui la fit décorer somptueusement par Fernand Léger, Picabia, Max Ernst, Chirico et tutti quanti.
Il a eu son heure de gloire en ravissant le titre de champion du monde à Garry Kasparov, et l’a conservé sept ans. Mais depuis le début des années 2020, le grand maître russe, désormais retraité, traque les tricheurs sur Internet. Avec une méthode qui s’est révélée assez faillible.
Athlète complet de la création, cet artiste issu du cirque ne cesse de réinterroger, en tous sens, les lois physiques qui régissent le monde.
Une exposition dans la Crypte archéologique de l’île de la Cité met au jour près de 150 objets, de la Préhistoire à nos jours, récoltés dans le fleuve et sur ses berges.
Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
À l’évocation de Stravinsky, on pense en premier lieu aux partitions nées de sa collaboration avec les Ballets russes de Serge Diaghilev : L’Oiseau de feu, Petrouchka, Le Sacre du printemps, écrites entre 1910 et 1913.