
La première table ronde des Rencontres d’Options sur le travail et la transition climatique, « Un mode de production à faire bifurquer », a interrogé la crise systémique du capitalisme. Comment s’en sortir ?
La première table ronde des Rencontres d’Options sur le travail et la transition climatique, « Un mode de production à faire bifurquer », a interrogé la crise systémique du capitalisme. Comment s’en sortir ?
La question, posée par la deuxième table ronde des Rencontres d’Options, a mis en lumière un déficit démocratique dans la lutte contre le dérèglement climatique.
Comment les salariés peuvent-t-ils être des « sentinelles » des enjeux environnementaux et sociaux ? La troisième table ronde a débattu de la finalité et des premiers résultats de l’outil codéveloppé par l’Ugict-Cgt et le collectif Pour un réveil écologique.
La Cgt affirme qu’il est possible de remédier à la crise climatique en dépassant les contradictions entre le social et l’environnemental. Mais en apportant des solutions : c’est l’un des objectifs de son Plan syndical d’actions pour l’environnement.
Alimentés notamment par une profonde insatisfaction salariale, mal-être au travail et perte de sens se conjuguent pour aggraver leur sentiment de déclassement. C’est ce que démontre le dernier baromètre Ugict-Cgt/Secafi, réalisé par ViaVoice.
C’est en suivant le fil rouge de la reconnaissance salariale qu’une recherche-action de l’Ires pour la Cgt a posé les enjeux d’un investissement massif dans le secteur du soin et du lien aux autres.
Si le concept de comparaison d'emplois de « valeur égale » est reconnu au Québec, il l’est moins en France. Une recherche de l'Ires utilise cette méthode, en analysant notamment deux professions de niveau Bac+5 exerçant dans le même centre hospitalier.
Elles sont plus diplômées, sont entrées sur le marché de l’emploi dans un contexte économique favorable, ont « bénéficié » de politiques publiques incitant à l’égalité. Et pourtant… Les jeunes femmes connaissaient, toujours en 2020, de moins bonnes conditions de travail et d’accès à l’emploi que les jeunes hommes.
Pour les éditorialistes, le « coup de sang » d’Emmanuel Marcon a redonné de l’air au ministre de l’Économie qui, dans la foulée, a plaidé pour une réduction des droits des chômeurs de plus de 55 ans. Si certains s’en félicitent, d’autres feignent de s’interroger : mais qui doit, en réalité, se « réveiller » ?
Alimentés notamment par une profonde insatisfaction salariale, mal-être au travail et perte de sens se conjuguent pour aggraver leur sentiment de déclassement. C’est ce que démontre le dernier baromètre Ugict-Cgt/Secafi, réalisé par ViaVoice.
Une enquête qualitative montre comment l’allongement de la vie active, combinée à la réforme de la carrière publique, creuse les inégalités de genre et d’âge.
Près de 11 000 personnes doivent travailler pour les Jop, encadrés pour la premières fois par une charte sociale. Pour quel résultat ? Un livre en dresse un bilan nuancé.