
Les organisations patronales continuent de réclamer des mesures d’âge, confortées notamment par les positions publiques du président du Conseil d’orientation des retraites. Le prétexte ? Participer à la croissance annoncée du budget pour la défense.
Les organisations patronales continuent de réclamer des mesures d’âge, confortées notamment par les positions publiques du président du Conseil d’orientation des retraites. Le prétexte ? Participer à la croissance annoncée du budget pour la défense.
Pour gagner l'abrogation de la réforme de 2023, la Cgt appelle à la mobilisation. À commencer le 8 mars, pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
Dès la cinquantaine franchie, les dernières années de vie active peuvent tourner à l’épreuve. Elles peuvent aussi être une opportunité de mobiliser son expérience, au profit notamment de la transmission. Mais au-delà de la variété des parcours, la retraite à 64 ans, « c’est toujours non ! », a réaffirmé l’intersyndicale mobilisée contre la réforme.
Face à l’offensive du gouvernement visant à ponctionner les ressources du régime pour financer le minimum contributif de retraite, la Cgt exprime ainsi sa détermination à protéger les retraites complémentaires. Tout en exprimant des réserves.
C’est avec ambition que la Cgt aborde les négociations sur les retraites complémentaires, amorcées le 5 septembre. Elle ne se satisfera pas de la suppression du malus mis en place en 2019. Propositions.
La presse étrangère qui, au début du mouvement social contre la réforme des retraites, a raillé la « paresse française », commence à s’interroger : et si les Français avaient raison ?
Réduire de 40 % la durée d’indemnisation si le taux de chômage passait en dessous de 6 % : le projet de décret transmis avant Noël aux syndicats a été officiellement retiré. Mais le soulagement est tout relatif. Explications.
Pour la CGT, la réforme, qui doit entrer en vigueur le 1er février 2023., se traduira pas une baisse drastique de l'indemnisation chômage. Denis Gravouil, en charge de la question de l’emploi et du chômage, explique pourquoi.
Président de la Fédération des mutuelles de France (Fmf), Jean-Paul Benoit revient sur ce que le quinquennat macroniste a fait à la Sécurité sociale, et sur ce qui se dessine pour les prochaines années.
Pour le pouvoir d’achat : c’est désormais en son nom, dans une myriade de propositions plus ou moins dangereuses, que les libéraux continuent à vouloir désintégrer le modèle social français.
L’échec des négociations était attendu ; il est confirmé. Mercredi 20 février, syndicats et patronat ont déclaré ne pas être parvenus à