
C’est quasiment ce qui a lieu au musée d’art et d’histoire du judaïsme, où l’exposition « Vérité et justice » explore les tenants et aboutissants de cet épisode inoubliable de honte nationale.
C’est quasiment ce qui a lieu au musée d’art et d’histoire du judaïsme, où l’exposition « Vérité et justice » explore les tenants et aboutissants de cet épisode inoubliable de honte nationale.
À l’inverse de ce que l’on croit généralement, cette époque, encore trop souvent jugée obscure, a connu, notamment à partir du XIIIe siècle, des règles de salubrité avec les moyens du bord. En témoigne une exposition à Paris, dans la tour Jean-sans-Peur.
Au musée des Arts décoratifs, 700 œuvres et objets divers récapitulent la fondation et la prospérité de ces temples de la consommation qu’Émile Zola fit entrer dans la littérature en 1883 avec Au bonheur des dames.
Cette artiste d’origine iranienne dévoile, à travers ses toiles, un univers féminin magnifié, purgé de tout assujettissement à des règles et interdictions.
À Châlons-en-Champagne, sa ville natale, Cabu, maître du dessin satirique, fait l’objet d’une épatante exposition sur l’un de ses thèmes favoris.
Le Centre Pompidou consacre une exposition monographique, riche de plus de 200 œuvres, à cette artiste à l’itinéraire singulier, tôt reconnue par Degas et qui a su, notamment, porter sur le nu un regard proprement féminin.
C’est, dans le musée consacré au grand sculpteur, la question à laquelle l’exposition « Corps In-visibles » apporte plusieurs réponses passionnantes.
Cet artiste d’aujourd’hui, rompu à toutes les techniques de la gravure et de la peinture, héritier reconnu d’illustres devanciers, est exposé en grand à Paris, dans les locaux du site Richelieu.
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
Confrontée aux avant-gardes artistiques parisiennes, cette peintre brésilienne inventa dans les années 1920, sous des formes multiples, une expression résolument moderne, propre à son pays natal. Le musée du Luxembourg lui consacre une rétrospective.
Au musée de Montmartre, on refait le parcours d’un peintre encore méconnu, parti du postimpressionnisme, tenant du fauvisme puis du cubisme, qui finit en pionnier de l’art abstrait.