Le collectionneur Antoine de Galbert a fait des dons réguliers à l’établissement, pour un total de 270 œuvres issues de 95 photographes, célèbres et moins connus, qu’on peut d’ores et déjà juger sur pièces.
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Au musée fondé par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, on pourra découvrir, jusqu’au 26 mai 2024, une multitude d’œuvres et d’objets insolites patiemment réunis, pendant des années, par des gens à la curiosité sans cesse en éveil.
Cinquante ans après sa mort, en cette année où l’artiste le plus célèbre du XXe siècle est à l’honneur sur une grande échelle, le Centre Pompidou glorifie son œuvre graphique.
Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.
La Fondation Henri-Cartier-Bresson fête ses 20 ans d’existence et consacre une exposition à cette artiste qui, à l’âge de 17 ans, traversa seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Il s’agit de pièces provenant de la fameuse collection du Victoria & Albert Museum de Londres, qui illustrent les relations complexes entre l’Angleterre et le continent tout au long du Moyen Âge.
Dans la plus ancienne des institutions françaises, sise quai de Conti, se tient une exposition d’envergure qui explore, jusque dans les moindres recoins, l’histoire des formes et celle des fonds.
Dans cette ville considérée comme la capitale du 8e art, la grande institution des berges du Rhône met à l’honneur l’œuvre de Jacques Léonard (1909-1994) et 120 portraits issus de la collection Florence et Damien Bachelot.
Au musée Jacquemart-André, c’est la première exposition en France de ce grand maître de la couleur et de la lumière, qui n’a cessé d’ouvrir les yeux au milieu de ses pairs, dans une période élue de la Renaissance.