
Moins d’humain, moins de temps, une charge de travail qui s’alourdit, des rémunérations en berne… et des injonctions contradictoires de la part des directions. L’enquête menée par l’Ufmict-Cgt sonne l’alarme.
Moins d’humain, moins de temps, une charge de travail qui s’alourdit, des rémunérations en berne… et des injonctions contradictoires de la part des directions. L’enquête menée par l’Ufmict-Cgt sonne l’alarme.
Les maux non reconnus, le manque de prévention, les difficultés de la médecine du travail à l’hôpital : ce diagnostic impose un renforcement du lien entre syndicats et médecins du travail.
Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.
Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?
Face à la dégradation persistante du système de santé et de leurs conditions de travail, les personnels n'ont d'autre choix que de rester mobilisés.
Professionnels de santé et de la justice s’organisent pour défendre l’accès aux services publics et contrer l’influence de la Cour des comptes et de ses évaluations exclusivement comptables.
Le Ségur a distribué quelques pilules – souvent amères –, beaucoup de placebos, et laissé nombre de professionnels sans remèdes.
Clap de fin du Ségur, après le « clap clap » aux soignants ? Désormais, c’est un deuxième volet de mesures (dit Ségur II),
C’était il y a un an. Les psychologues du travail avaient dû, eux aussi, quitter leur service pour se confiner
Un accord « historique » ? Sourd aux mobilisations des personnels de santé, le gouvernement a fini par entendre, Covid oblige, qu’un système
Avant que l’incendie meurtrier commis à Paris dans la nuit du 4 au 5 février ne ravive le débat sur la