
Face aux attaques répétées de Donald Trump contre toutes les normes issues du droit international, les démocraties peinent à trouver une réponse adaptée. Négocier, riposter, se réarmer ?
Face aux attaques répétées de Donald Trump contre toutes les normes issues du droit international, les démocraties peinent à trouver une réponse adaptée. Négocier, riposter, se réarmer ?
Par Sylvie Durand, secrétaire nationale de l’Ugict-CGT Le 7 janvier 2015, avec l’attentat contre "Charlie hebdo", le journal "Options" perdait l’un de ses collaborateurs, le dessinateur Charb, et la France basculait dans l’engrenage des obscurantismes et de leur cohorte d’horreurs. Dix ans après, le plus grand bien à sécuriser reste notre liberté de conscience.
Le 7 janvier 2015, l’attentat contre le journal satirique faisait 12 morts, dont Charb, collaborateur régulier d’"Options". Une décennie après, la liberté d’expression reste un combat, singulièrement pour les dessinateurs précarisés et minés par la crise de la presse écrite.
Une décennie après le triple attentat de 2015, les éditorialistes sonnent l’alarme : le « oui, mais » à la liberté d’expression, singulièrement des dessinateurs de presse, semble progresser, en particulier chez les jeunes.
Une décennie après le triple attentat de 2015, les éditorialistes sonnent l’alarme : le « oui, mais » à la liberté d’expression, singulièrement des dessinateurs de presse, semble progresser, en particulier chez les jeunes.
La liberté d’expression est une liberté fondamentale. Cette liberté peut être exercée par tout salarié au sein de l’entreprise, dans le cadre de certaines limites. La jurisprudence de la Cour de cassation continue de préciser le régime juridique applicable pour assurer l’effectivité de cette liberté essentielle.
Quarante ans après, les lois Auroux continuent de protéger, au travail, ce droit fondamental qu’est la liberté d’expression. Illustration avec des décisions judiciaires récentes.
Entretien avec David van der Vlist, avocat en droit du travail et secrétaire général du Syndicat des avocats de France.
La guerre n’est pas ouverte mais le conflit est latent. Dernier épisode en date : la remise d’un rapport d’une quarantaine