
Il est né deux mois avant Schubert, en novembre 1796, sa renommée était l’égale de celle de l’auteur de La
Il est né deux mois avant Schubert, en novembre 1796, sa renommée était l’égale de celle de l’auteur de La
La meilleure définition de la musique de Beethoven est peut-être celle de Romain Rolland, dans le livre qu’il lui a consacré en 1903 : « Il se dégage de lui un bonheur de la lutte. »
C’est un opéra de poche qui n’eut pas un grand succès à sa création en 1914, mais « Le Rossignol » de Stravinsky méritait qu’on y revienne. C’est ce que fait la soprano Sabine Devieilhe avec la grâce colorée qu’on lui connaît.
Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.
Loin du hiératisme de ses prédécesseurs, Jérémie Rhorer donne de la "Messe solennelle" une interprétation pleine de chaleur, entre joie et recueillement.
Le pianiste Maxime Zecchini propose une anthologie des compositions pour la main gauche. Le répertoire existe ! Il a été développé notamment après 1918, à destination de musiciens amputés. Et pourquoi davantage que la main droite ? On l’explique ici.
À Arnold Schönberg, le sérialisme, Tristan Murail la musique spectrale, Karlheinz Stockhausen la musique électronique. La trace laissée par György Ligeti porte le nom de micro-polyphonies.
Il y a un peu plus de trente ans, il débarquait sur une scène baroque en effervescence, sosie de Clark Kent, grand, la silhouette athlétique, le regard timide derrière des lunettes strictes.
Deux cents ans après la « rencontre » de Mendelssohn avec Bach, Christopher Jackson reprend son adaptation de la "Passion selon saint Matthieu". Mais quel dommage d’en avoir écarté certains des plus beaux chants.
Pas bigot, Fauré, mais touché par la grâce, avec ce Requiem « composé pour le plaisir » pour exprimer « une délivrance heureuse ». Le Chœur de Namur, tout en pudeur et en raffinement, le sert admirablement.
Il y a longtemps qu’on n’avait à ce point été touché par une interprétation de l’ultime œuvre du génie de Salzbourg. On la doit à l’inventivité de Raphaël Pichon, qui a imbriqué des morceaux bien assortis entre les différentes parties du Requiem.
La soprano lituanienne soulève l’émotion en interprétant les ultimes lieder de de Richard Strauss, accompagnée par le piano intimiste, presque crépusculaire de Markus Hinterhäuser.