Au théâtre Essaïon, Jean-Baptiste Artigas joue et met en scène La Chute, adaptation du roman paru en 1956, un an avant que son auteur ne reçoive le prix Nobel de littérature.
L’une s’apprête à tirer, l’autre à jeter une pierre. Sonia Ristic a écrit Yalla !, une pièce mise en scène par Deborah Banoun, inspirée d’événements survenus au Liban en 2011.
Jean-Noël Dahan met en scène Cet air infini, une pièce de Lluïsa Cunillé qui occupe une place éminente dans le panorama du nouveau théâtre en Catalogne.
La grande actrice Maria Casarès avait acquis le domaine de la Vergne, à Alloue, en Charente. Du 22 juillet au 16 août, théâtre et festivités y sont à l’honneur.
Clea Petrolesi a écrit et met en scène Personne n’est ensemble sauf moi, un spectacle qui est une ode à la différence et brouille les pistes avec délicatesse.
Commencé le 1er juin, le Festival du Théâtre de verdure, dont c’est la 3e édition, se poursuit jusqu’au 22 septembre.
En adaptant Vie et Destin, le Théâtre de la Vallée plonge ses personnages dans l’enfer de Stalingrad, de la Loubianka et des camps d’extermination nazis, pour une lecture contemporaine d’un chef d’œuvre dénonçant le totalitarisme et la guerre.
Au Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, 140 de ses œuvres racontent cinquante ans d’une carrière placée sous le signe de la patience et du long temps de pose.
La comédienne Hélène Arié, à partir du chef-d’œuvre littéraire de James Joyce, fait la part belle à Molly, moderne Pénélope.
Cette artiste, à la croisée du cirque, du cinéma, de la danse et du théâtre, parvient à créer, dans Ombres portées, un univers acrobatique autour d’une réflexion aiguë sur la quête d’identité et la construction de soi.
Du 12 au 30 mars, des spectacles neufs sont à l’affiche, dans le but affirmé de montrer des œuvres contemporaines réinventées au fil d’expérimentations diverses.
La pièce mise en scène par Liza Guez s’inspire d’une pratique thérapeutique passant par le corps et par le jeu pour mettre les souffrances psychiques à distance.
